Apresentação do livro
Do Tempo e da Paisagem
de
Henrique Pereira dos Santos
(Ed. Principia: www.principia.pt)
Podemos fazer críticas de música, de filmes, de pintura, de livros?, mas também podemos escrever, porque não? uma crítica de paisagens.
A paisagem de Portugal é rica e variada, cada região do País está marcada de características que lhe são particulares: ora nos deparamos com um planalto, ora com montes e serras, dotados de um clima tipicamente mediterrânico e com uma linha de costa de cerca de 800 quilómetros, em que o solo fértil é escasso, só se tornando mais fértil nos fundos dos vales.
«A secura estival deste clima deixa marcas profundas sobre a paisagem, condicionando inegavelmente a sua evolução».
Ao longo dos tempos, gerações e gerações lutaram contra um solo improdutivo. Um dos flagelos provocadores de alterações da paisagem e destruidores de matos, florestas e, infelizmente, vidas é o fogo. Todos os anos, mal surge um dia mais quente, as notícias dão conta de mais áreas florestais que arderam. Contudo, este inimigo não está só. Acompanham-no o vento e as águas superficiais.
Estes três agentes são os responsáveis pela alteração dos contornos da paisagem ao longo dos tempos. E é deste e de outros assuntos que trata este livro: Da Paisagem e do Tempo é «um relato de experiências pessoais com a paisagem e com o tempo como pano de fundo».
Apresentação a cargo de Filipa Pimentel
Sábado, 3 de Julho de 2010, às 18 horas
A Livraria Orfeu – Livraria Portuguesa e Galega em Bruxelas
tem o prazer de o convidar para o lançamento do livro
VIAGENS NOUTRAS TERRAS
ALMEIDA GARRETT – DIPLOMATA EM BRUXELAS (1834-1836)
de Duarte Bué Alves
no próximo dia 19 de Junho (Sábado), às 18.00 horas, na Livraria Orfeu
(Rue du Taciturne 43, 1000 Bruxelas)
A obra será apresentada por Lode Delputte,
jornalista do De Morgen.
Duarte Bué Alves, o autor, cessa funções em Bruxelas a seguir ao Verão.
SE o Embaixador Vasco Bramão Ramos preside à sessão.
Esta obra é o n° 1 da Colecção Portugal-Bélgica,
editada pela Orfeu
tem prefácio de José Cutileiro, fotografias de Vasco Bramão Ramos do busto público de A. Garrett, da autoria de Rodrigues Castro, existente em Saint Gilles, e grafismo de Ricardo Almeida
de "AUTRE CHOSE"
EXPOSITION de
FRANCESCA ROMANA TESSADRI
Ma peinture anime une quête calme et réflexive.
Les mouvements délicats de mon pinceau écrivent sur la toile les signes de mon monde intérieur. Ma peinture est voyage, du plus profond de moi-même. Je choisis les couleurs suivant un jeu délicat de transparences, cherchant à obtenir luminosité et profondeur. Par exigence d’harmonie je m’exprime en continu mouvement. Fascinée par la surface fragile du papier, je trace mes pensées en quête de nouveaux langages, donnant naissance à un nouveau cosmos, qui identifie ma réalité face à l’irréalité de mon imaginaire. Je joue ainsi avec les mots pour affirmer que ces deux univers vivent en symbiose constante, sans qu’aucun ne domine l’autre. Mes traits sont des mots qui se libèrent dans le temps. De nouveaux langages apparemment inconnus, mais présents toujours dans nos consciences. Obsédée par la perfection irrégulière des couleurs, j’explore de nouveaux mondes et de nouvelles sensations. Tout est subtil. Lignes filiformes, graciles, suspendues dans l’espace raffiné. J’ai tout absorbé, je me suis nourrie de tout ce qui m’entoure, construisant mon inconsciente inspiration. J’ai assimilé des notions, des informations, des sensations, des couleurs. Je les ai filtrées et transmises au langage personnel que mes oeuvres tentent d’effleurer. J’exprime mes sensations les plus occultes. Chaque fois que j’entame une nouvelle recherche picturale, je découvre ainsi une nouvelle partie de moi-même.
Mon langage et mes codes sont une clef pour la lecture de moi-même. Mon inquiétude se transforme en harmonie, formes légères, éthérées, qui s’installent, qui voltigent et se posent à la surface. Je suis fascinée par l’alchimie magique des couleurs et de leur contact avec l’eau. C’est une recherche constante, une transformation constante, une expérimentation constante, mais c’est moi, toujours. Les fonds transparents, d’aquarelle, sont inattendus, ils accueillent des signes, des séquences, parfois des figures illisibles, stylisées. Je synthétise et j’exprime mon plaisir chromatique à travers les particules de couleur. Dans l’espace papillonnent des signes fragiles qui laissent des traces. Continuités et discontinuités qui se réunissent et se désunissent, en quête d’équilibre. La surface est labourée, écorchée, arrachée, étripée, et reconstituée, dans la recherche d’un langage archaïque et primordial. La couleur se répand sur le papier, imprègne ses fibres, et donne lieu à des formes évanescentes provenant d’un univers intérieur. Je laisse entrevoir des «sites intérieurs» réglés par la luminosité, les transparences, et les combinaisons chromatiques. Traces de réalité transférées et emprisonnées à la surface, mémoires de choses déjà vues, portées à la lumière par la pointe du pinceau ; fragments, bribes de pensées, de raisonnements, radiographies de notre inconscient ; suspendus entre la mémoire et l’oubli. Le spectateur est invité à l’observation lente et profonde de l’oeuvre, à l’explorer et à plonger en elle entièrement.
Samedi,12 juin, à 18 heures
(jusqu’au 20 juin)